En Région Centre, on n’arrête plus les projets Serenya ! Le prochain village senior qui sortira de terre en 2024 est prévu à Châteaudun. Cette alternative aux résidences seniors et aux EPHAD propose un concept unique : 80 à 85 nouvelles maisons individuelles, dédiées aux seniors, qui formeront un nouveau quartier au sud de Châteaudun.
Le succès des villages senior Serenya tient en deux mots : autonomie et économie
Les villages senior sont construits autour d’un club house central (salle de réception, salle de sport, espace bien être) qui facilite les relations de bon voisinage entre les résidents. Cependant, chaque maison possède son propre espace avec jardin et garage (en option), ce qui promet une réelle autonomie pour les personnes qui s’y installent. Les projets ne manquent pas pour le village senior de Châteaudun : un jardin potager partagé, des parcs paysagers complèteront ce nouveau quartier.
Afin de préserver la tranquillité de tous et d’offrir des services supplémentaires, le village senior du plateau de la Guinguette (Châteaudun) se dotera également d’une maison médicale avec de multiples possibilités de téléconsultation.
Les habitants des villages séniors sont parfaitement autonomes chez eux. Ils peuvent bénéficier ponctuellement ou en cas de perte d’autonomie, des services d’aide à la personne proposés entièrement à la carte par Les Babadines (partenaire de Sérénya).
Le budget mensuel d’un résident Sérénya varie entre 650 et 1000€ (loyer + charges), budget accessible à plus de 50% des séniors ! En face, seuls 10% des séniors possèdent un revenu suffisant pour s’installer en résidence classique (1400 à 3000€/mois). Résultat, Serenya affiche un taux d’occupation ou de vente de 100% sur tous ses villages déjà réalisés ou déjà en construction.
À Châteaudun, Serenya mise sur les liens intergénérationnels
Le village Serenya de Châteaudun projette de construire une micro-crèche en son sein. Ce type d’établissement intergénérationnel a l’avantage d’être réciproquement bénéfique pour les enfants et pour les seniors et rencontre de plus en plus de succès en France. Concrètement les enfants de moins de 3 ans et les seniors de plus de 70 ans cohabitent dans le même quartier et peuvent partager quelques temps d’activité.
Lire l’article paru dans l’Echo Républicain